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Saturday, 26 November 2011

11MSP News: Global landmines meeting: Africa's and Finland's engagement praised


Version en français ici-dessous / versión en español abajo

Global landmines meeting: Africa's engagement praised

Phnom Penh, Cambodia, 26 November 2011 – Africa’s leadership in the fight against anti-personnel mines will be front and centre and next week’s Eleventh Meeting of the States Parties (11MSP) of the Anti-Personnel Mine Ban Convention, or Ottawa Convention, in Phnom Penh, Cambodia. Several African states have committed to participate at a high level at what amounts to the world’s largest gathering of anti-landmines diplomats and experts.

“I am grateful that so many African states will be represented at the 11MSP by Ministers or Deputy Ministers,” said senior Cambodian Minister H.E. PRAK Sokhonn (pictured), who will preside over the 11MSP. “Like Cambodia, many of these states are also affected by landmines. Their ongoing high level interest in our common cause will help remind the world that our task is not yet complete.”

Burundi’s Minister of Public Security, Alain Guillaume Bunyoni, and Uganda’s Minister of State for Disaster Preparedness and Refugees, Musa Ecweru, will participate in the 11MSP. Both States have worked for over a decade to clear anti-personnel mines and are on the verge of being able to announce completion of their mine clearance obligations under the Convention.

Other African high level participants in the 11MSP include Deputy Ministers of Foreign Affairs from Mozambique and South Sudan and Guinea-Bissau’s Deputy Minister of Defence. Mozambique, South Sudan and Guinea-Bissau are also continuing efforts to clear all areas containing anti-personnel mines and to assist landmine survivors.

“With a Meeting of the States Parties taking place in Cambodia, the anti-landmines movement is returning to one of its birthplaces,” said H.E. PRAK Sokhonn. “We are well aware that this movement also emerged from mine-affected communities in many African countries. We are united in a global effort to end the suffering caused by anti-personnel mines.”

Almost every African state has joined the Anti-Personnel Mine Ban Convention, including the world’s newest state, South Sudan, which made adherence to the Convention one of its first multilateral commitments. With 50 States Parties to the Convention in Africa, only Egypt, Libya, Morocco and Somalia remain outside this landmark humanitarian instrument. There is optimism that Libya could soon join the global anti-landmines movement given the April 2011 pledge by the Libyan National Transitional Council that it would not use landmines.

In addition to praising Africa for its commitment to the fight against anti-personnel mines, H.E. PRAK Sokhonn also lauded Finland for participating in the 11MSP at the Ministerial level. “The fact that Finland’s Minister for International Development, Heidi Hautala, will join us in Phnom Penh is strong evidence of Finland’s solidarity with mine-affected countries,” said H.E. PRAK Sokhonn.

Finland is in the final stages of completing its internal process to accede to the Convention. In addition, Finland is a major supporter of demining around the world, having contributed over €5.0 million to mine action in 2010, including over €1.4 million to Cambodia

The 11MSP kicks off on 27 November in Phnom Penh with an opening ceremony featuring the Prime Minister of Cambodia, H.E. HUN Sen, and Helen CLARK, the Administrator of the United Nations Development Programme (UNDP). The 11MSP will see over 1,000 delegates representing over 100 States, international and non-governmental organizations descending on the Cambodian capital from 27 November to 2 December 2011.

The Anti-Personnel Mine Ban Convention

The Anti-Personnel Mine Ban Convention was adopted in Oslo in 1997, opened for signature in
Ottawa the same year and entered into force in 1999.

To date 158 states have joined the Convention with 153 of these reporting that they no longer hold stocks of anti-personnel mines. Over 44.5 million stockpiled mines have been destroyed by the States Parties.

34 of 50 States that at one time manufactured anti-personnel mines are now bound by the Convention’s ban on production. Most other parties have put in place moratoria on production and / or transfers of mines.

Demining has resulted in millions of square metres of once dangerous land being released for normal human activity.

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For interviews or more information regarding any aspect of the Convention kindly email: ISU@APMineBanConvention.org or contact Laila Rodriguez at +855 97 6890 977 or +41 79 960 2274. Connect with the Convention through our website, Facebook, Flickr or Twitter.
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Réunion globale sur les mines antipersonnel:
l'engagement de l'Afrique a été applaudi

Phnom Penh, Cambodge, le 25 novembre 2011 – Les dirigeants africains de la lutte contre les mines antipersonnel seront au premier plan de la onzième Assemblée des États partis (11AEP) de la Convention sur l’interdiction des mines anti-personnel, ou Convention d'Ottawa, qui aura lieu la semaine prochaine à Phnom Penh, au Cambodge. Plusieurs États africains se sont engagés à participer à un niveau politique élevé à ce qui constitue le plus grand rassemblement de diplomates et d’expertes anti-mines du monde.

« Je suis reconnaissant qu'un si grand nombre d'États africains soient représentés à la 11AEP par des ministres ou des sous-ministres », a déclaré le ministre cambodgien SE PRAK Sokhonn, qui présidera la 11AEP. « Comme le Cambodge, plusieurs de ces États sont également affectés par les mines. Le renouvellement -au plus haut niveau- de leur engagement à notre cause commune permettra de rappeler au monde que notre tâche n'est pas encore achevée ».

Le ministre du Burundi de la Sécurité publique, SE Alain Guillaume Bunyoni, et le Ministre d'État pour la préparation aux catastrophes et des réfugiés d’Ouganda, SE Musa Ecweru, participeront à la 11AEP. Les deux États ont œuvré pendant plus d'une décennie au nettoyage de leur territoire et sont sur le point d'être en mesure d'annoncer avoir terminé la mise en oeuvre de leurs obligations de déminage au titre de la Convention.

D'autres participants africains d’un haut niveau politique assistant à la 11AEP incluent les sous-ministres des Affaires étrangères du Mozambique et du Sud-Soudan, et le Ministre adjoint de la Défense de la Guinée-Bissau. Le Mozambique, le Sud-Soudan et la Guinée-Bissau poursuivent également leurs efforts pour nettoyer toutes les zones contenant des mines antipersonnel et pour aider les survivants.

« Avec une réunion des États partis ayant lieu au Cambodge, le mouvement anti-mines est de retour sur l'un de ses lieux de naissance », a déclaré SE PRAK Sokhonn. « Nous sommes bien conscients, cependant, que ce mouvement a également émergé de communautés touchées par les mines dans de nombreux pays africains. Nous sommes unis dans un effort mondial pour mettre fin aux souffrances causées par les mines antipersonnel ».

Presque chaque État africain a adhéré à la Convention sur l'interdiction des mines antipersonnel, y compris le plus récent état du monde, le Sud-Soudan, qui a fait de l'adhésion à la Convention un de ses premiers engagements multilatéraux. 50 États africains sont parties à la Convention sur le continent ; seuls l’Égypte, la Libye, le Maroc et la Somalie restent en dehors de cet historique instrument humanitaire. Étant donné l'engagement pris en avril dernier par le Conseil national de transition libyen selon lequel il n’utiliserait pas de mines antipersonnel, d'aucuns seraient optimistes quant à la possibilité que la Libye rejoigne bientôt la lutte mondiale contre les mines.

En plus de louer l'Afrique pour son engagement dans la lutte contre les mines antipersonnel, PRAK Sokhonn a également salué la Finlande pour sa participation à la 11AEP au niveau ministériel.

« Le fait que la Ministre pour le développement international de la Finlande, S.E. Heidi HAUTALA, nous rejoindra à Phnom Penh est une preuve forte de la solidarité de la Finlande avec les pays touchés », a déclaré Son Excellence.

La Finlande est en train de finaliser son processus interne d'adhésion à la Convention. En outre, la Finlande est également un artisan majeur du déminage dans le monde, ayant versé plus de €5 millions pour l'action anti-mines en 2010, dont plus de €1,4 millions au Cambodge.

Le coup d'envoi de la 11AEP aura lieu le 27 novembre à Phnom Penh avec une cérémonie d'ouverture ayant pour vedette le Premier Ministre du Cambodge, SE HUN Sen, et Mme Helen CLARK, Administratrice du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). La 11AEP verra plus de 1 000 délégués représentant plus de 100 États, organisations internationales et non gouvernementales qui convergeront vers la capitale cambodgienne du 27 novembre au 2 décembre 2011.

La Convention sur l'interdiction des mines antipersonnel

La Convention a été adoptée à Oslo en 1997 et signée la même année à Ottawa. Elle est entrée en vigueur en 1999.

À ce jour, 158 États sont parties à la Convention et 153 d'entre eux ne possèdent plus de stocks de mines. Plus de 44.5 millions de mines ont été détruites par les États parties.

En outre, sur 50 États ayant fabriqué des mines antipersonnel, 34 sont désormais soumis à l'interdiction de production imposée par la Convention. Les États restants ont posé un moratoire sur la production et / ou le transfert des mines.

Le déminage a permis que des millions de mètres carrés de terres qui étaient autrefois considérés comme dangereux, soient a nouveau utilisés pour des activités normales.

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Pour plus d'informations ou entrevues sur tout aspect de la Convention ou sur les réunions, veuillez écrire à : ISU@APMineBanConvention.org, ou appeler Laila Rodriguez au +41 (0) 22 906 1656. Suivez la Convention sur notre site d’Internet, Facebook, Flickr ou Twitter.


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Reunión mundial contra las minas antipersonal:
elogian el compromiso de África

Phnom Penh, Camboya, 26 de noviembre de 2011 - Los líderes africanos en la lucha contra las minas antipersonal están a la vanguardia de la Decimoprimera Reunión de los Estados Parte de la Convención sobre la Prohibición de las Minas Antipersonal (11REP), o Convención de Ottawa, que tendrá lugar la próxima semana en Phnom Penh, Camboya. Varios países africanos se han comprometido a participar a un alto nivel político durante la mayor reunión de diplomáticos y expertos en minas del mundo.

“Estoy agradecido de que varios estados africanos estén representados en la 11REP a nivel ministerial o vice-ministerial”, dijo S.E. PRAK Sokhonn, Ministro camboyano que presidirá la 11REP. “Así como Camboya, muchos de estos estados también se ven afectados por las minas antipersonal. Su compromiso -a un alto nivel político- con esta causa en común sirve para recordarle al mundo que nuestra tarea aún no termina”.

El Ministro de Seguridad Pública de Burundi, Alain Guillaume Bunyoni, y el Ministro de Estado para la Preparación de Desastres y de Refugiados en Uganda, Musa Ecweru, participarán en la 11REP. Los dos estados africanos han trabajado durante más de una década para desminar sus territorios y están a punto de anunciar la finalización de sus obligaciones de desminado en la Convención.

Otros participantes africanos que representan a sus países a un alto nivel político en la 11REP son los viceministros de Relaciones Exteriores de Mozambique y de Sudán del Sur, así como el Viceministro de Defensa de Guinea-Bissau. Mozambique, Sudán del Sur y Guinea-Bissau también realizan esfuerzos para eliminar todas las áreas minadas y ayudar a los sobrevivientes.

“Con la Reunión de los Estados Parte, el movimiento anti-minas regresa a uno de los lugares donde nació”, dijo Su Excelencia. “Sabemos que este movimiento surgió también de las comunidades afectadas por las minas en muchos países africanos. Estamos unidos con ellos en un esfuerzo global para acabar con el sufrimiento causado por las minas terrestres”.

Casi todos los estados africanos se han adherido a la Convención Sobre la Prohibición de las Minas Antipersonal, incluido Sudán del Sur, el estado mas recientemente formado, el cual asumió como uno de sus primeros compromisos multilaterales, el unirse a la Convención. 50 Estados en el continente africano hacen parte del tratado, sólo Egipto, Libia, Marruecos y Somalia siguen sin unirse a éste histórico instrumento humanitario. En abril de 2011 el Consejo de Transición Nacional de Libia se comprometió a no usar las minas antipersonal, gracias a esto existe el optimismo de que Libia pueda unirse pronto a la lucha mundial contra las minas terrestres.

Además de elogiar a África por su compromiso en la lucha contra las minas antipersonal, PRAK Sokhonn elogió también a Finlandia por la que será su participación en la 11REP a nivel ministerial.

“El hecho de que la Ministra de Desarrollo Internacional de Finlandia, Su Excelencia Heidi HAUTALA venga a Phnom Penh, es una prueba contundente de la solidaridad de ese país con los países afectados”, dijo PRAK Sokhonn.

Finlandia se encuentra en las etapas finales de su proceso interno para adherirse a la Convención. Es también uno de los principales países donantes de fondos para la remoción de minas en el mundo, contribuyendo en 2010, con más de 5,0 millones de euros en la acción contra las minas, y con más de 1,4 millones de euros a Camboya.

La ceremonia de apertura de la 11REP se celebrará el 27 de noviembre en Phnom Penh con la participación del Primer Ministro de Camboya, S.E. HUN Sen, y de Helen CLARK, Administradora del Programa de las Naciones Unidas para el Desarrollo (PNUD). La 11REP verá más de 1.000 delegados de más de 100 países, organizaciones internacionales y no gubernamentales, descender sobre la capital camboyana a partir del 27 de noviembre al 2 de diciembre de 2011.

La Convención sobre la Prohibición de Minas Antipersonal

La Convención sobre la Prohibición de Minas Antipersonal fue adoptada en Oslo en 1997, fue firmada en Ottawa ese mismo año y entró en vigor en 1999.

Hasta la fecha 158 Estados hacen parte de la Convención, 153 de ellos ya no cuentan con arsenales de minas. Más de 44.5 millones de minas han sido destruidas por los Estados Parte. Además 34 de 50 Estados que alguna vez fabricaron minas antipersonal están sujetos ahora a la prohibición sobre la producción establecida por la Convención. El resto de Estados han puesto una moratoria a la producción y / o transferencia de minas.

El desminado ha permitido la limpieza, el uso y la actividad normal dentro de millones de metros cuadrados de tierras que antes eran consideradas peligrosas. 16 de 54 Estados Parte que originalmente reportaron zonas minadas han completado sus tareas de desminado.

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Para mas información o entrevistas sobre cualquier aspecto de la Convención y sus reuniones, comuníquese vía electrónica con: ISU@APMineBanConvention.org o con Laila Rodriguez al +41 (0) 22 906 1656. Conéctese con la Convención a través de nuestro sitio, Facebook, Flickr o Twitter.

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